Fulminator
2005-10-30 20:11:53 UTC
Quand je rentre chez moi le soir, sur 15 kilomètres de trajet, je passe
devant 2 stades nommés "Jesse Owens", situés dans des communes
différentes et très éloignées l'une de l'autre ...
Encensé par les municipalités bien-pensantes, ce champion ne doit sa
renommée qu'au SEUL fait qu' il était Noir, et qu' Hitler aurait refusé de
lui serrer la main aux Jeux Olympiques de 1936 !!...
Vous pensez bien qu'il y en a eu d'autres, de champions olympiques (depuis
bientôt 70 ans !), et qu'ils sont rapidement tombés dans l'oubli, n'ayant
pas bénéficié, malheureusement pour eux, de la double chance médiatique
constituée par :
1- la mélanodermie.
2- l' ostracisme raciste supposé d'Adolf au cours des J.O.
Si on trouve (sur 15 km) 2 stades évoquant pieusement la mémoire sacrée de
Saint Jesse Owens, combien de municipalités en France se courbent-elles
obséquieusement en passant sous les portails de stades frappés au nom
désormais prestigieux et mythique de ce martyr ? Mille ?... Dix mille ?...
Hélas, la renommée du héros est usurpée, si j'en crois le livre de Charles
Sorlier : "Mémoire d'un homme de couleurs" (Ed. Le pré aux clercs).
Cet auteur, peu suspect de sympathie pour le Führer (puisqu'il lui "doit
deux ans et demi dans un camp de Poméranie") (p.177), cet auteur, dis-je,
déclare que le sculpteur chéri du Reich Arno Brecker, qu'il connaissait
bien, lui avait affirmé ce qui suit :
Hitler n'était pas parti pour la raison (déclarée désormais parole
d'Evangile par l'histoire officielle), qu'il n'aurait pas voulu donner la
main à un Noir.
Brecker précisa à Sorlier (l'auteur du livre cité) qu'il avait déjeuné
avec Hitler en compagnie de TOUS les athlètes de l'équipe américaine,
ET BIEN ENTENDU JESSE OWENS (op.cit., p.177)
Le 2 août 1936, le président du Comité olympique, le comte de
Baillet-Latour, fit savoir à Hitler (qui voulait féliciter personnellement
l'athlète allemand Hans Woellke pour sa médaille d'or), que cette démarche
était contraire au protocole, précisant :
"Je vous prie de considérer que vous êtes ici en territoire olympique, en
tant qu'hôte et non en tant qu'organisateur". (!)
"Hitler encaissa le coup et NE SE MANIFESTA PLUS POUR AUCUN ATHLETE".
"Jesse Owens remporta sa médaille d'or le 3 août 1936, LENDEMAIN DE CE
RAPPEL A L'ORDRE" (op.cit., p.179).
Charles Sorlier démontre ainsi de façon éclatante l'imposture de
l' "histoire"-bidon fabriquée et triturée par la clique gaullo-marxiste des
pseudo-résistants de la 25è heure. Ceci après l'infamie Nurembergeoise
de Katyn, après l'infamie des communistes assassins de trotskistes du
POUM en Espagne, (infamies dissimulées par les communistes pendant
un demi-siècle), et bien d'autres scandales qui restent à éclater,
quand les dogmes politiquement corrects laisseront place à la vérité,
dans un siècle ou deux...
devant 2 stades nommés "Jesse Owens", situés dans des communes
différentes et très éloignées l'une de l'autre ...
Encensé par les municipalités bien-pensantes, ce champion ne doit sa
renommée qu'au SEUL fait qu' il était Noir, et qu' Hitler aurait refusé de
lui serrer la main aux Jeux Olympiques de 1936 !!...
Vous pensez bien qu'il y en a eu d'autres, de champions olympiques (depuis
bientôt 70 ans !), et qu'ils sont rapidement tombés dans l'oubli, n'ayant
pas bénéficié, malheureusement pour eux, de la double chance médiatique
constituée par :
1- la mélanodermie.
2- l' ostracisme raciste supposé d'Adolf au cours des J.O.
Si on trouve (sur 15 km) 2 stades évoquant pieusement la mémoire sacrée de
Saint Jesse Owens, combien de municipalités en France se courbent-elles
obséquieusement en passant sous les portails de stades frappés au nom
désormais prestigieux et mythique de ce martyr ? Mille ?... Dix mille ?...
Hélas, la renommée du héros est usurpée, si j'en crois le livre de Charles
Sorlier : "Mémoire d'un homme de couleurs" (Ed. Le pré aux clercs).
Cet auteur, peu suspect de sympathie pour le Führer (puisqu'il lui "doit
deux ans et demi dans un camp de Poméranie") (p.177), cet auteur, dis-je,
déclare que le sculpteur chéri du Reich Arno Brecker, qu'il connaissait
bien, lui avait affirmé ce qui suit :
Hitler n'était pas parti pour la raison (déclarée désormais parole
d'Evangile par l'histoire officielle), qu'il n'aurait pas voulu donner la
main à un Noir.
Brecker précisa à Sorlier (l'auteur du livre cité) qu'il avait déjeuné
avec Hitler en compagnie de TOUS les athlètes de l'équipe américaine,
ET BIEN ENTENDU JESSE OWENS (op.cit., p.177)
Le 2 août 1936, le président du Comité olympique, le comte de
Baillet-Latour, fit savoir à Hitler (qui voulait féliciter personnellement
l'athlète allemand Hans Woellke pour sa médaille d'or), que cette démarche
était contraire au protocole, précisant :
"Je vous prie de considérer que vous êtes ici en territoire olympique, en
tant qu'hôte et non en tant qu'organisateur". (!)
"Hitler encaissa le coup et NE SE MANIFESTA PLUS POUR AUCUN ATHLETE".
"Jesse Owens remporta sa médaille d'or le 3 août 1936, LENDEMAIN DE CE
RAPPEL A L'ORDRE" (op.cit., p.179).
Charles Sorlier démontre ainsi de façon éclatante l'imposture de
l' "histoire"-bidon fabriquée et triturée par la clique gaullo-marxiste des
pseudo-résistants de la 25è heure. Ceci après l'infamie Nurembergeoise
de Katyn, après l'infamie des communistes assassins de trotskistes du
POUM en Espagne, (infamies dissimulées par les communistes pendant
un demi-siècle), et bien d'autres scandales qui restent à éclater,
quand les dogmes politiquement corrects laisseront place à la vérité,
dans un siècle ou deux...